Entre terre et ciel
Peur de perdre le silence,
Peur de perdre les mots sans importance.
Peur du vide ?
Que vois-tu de loin
Qui ne soit transparent ?
Il te faut du jour ;
Il te faut du jour et de la nuit,
De la nuit en plein jour.
Tu n’y échappes pas.
Inutile de croire que tu trembles.
Les traces, une à une, déploient
La carte de ton coeur.
Le noir et le blanc y sont dépoussiérés.
Et ce n’est pas ça un poème !
Il te faut du vrai, du palpable.
Il te faut du vertigineux.
Peur du vide, encore.
Peur de tout perdre.
Entre terre et ciel
Peur de perdre le silence,
Peur de perdre les mots sans importance.
Peur du vide ?
Que vois-tu de loin
Qui ne soit transparent ?
Il te faut du jour ;
Il te faut du jour et de la nuit,
De la nuit en plein jour.
Tu n’y échappes pas.
Inutile de croire que tu trembles.
Les traces, une à une, déploient
La carte de ton coeur.
Le noir et le blanc y sont dépoussiérés.
Et ce n’est pas ça un poème !
Il te faut du vrai, du palpable.
Il te faut du vertigineux.
Peur du vide, encore.
Peur de tout perdre.